Pour les particuliers, comme pour les professionnels, investir dans un projet immobilier présente de nombreuses opportunités. Néanmoins, il est nécessaire de prendre en compte la question du financement avant de passer à la phase de concrétisation. Comment s’y prendre ? Quels sont les différents moyens disponibles pour bénéficier de dépenses minimales et d’une rentabilité optimale ?
Définir le type de projet immobilier désiré et sa capacité de remboursement
Qu’il s’agisse d’un projet immobilier à Lyon ou dans une autre agglomération, il est nécessaire de définir la nature de son investissement afin de déterminer son coût. Le fait de réaliser cette estimation permet de le crédibiliser, notamment pour une demande de prêt ou de financement partiel. Achat d’une maison individuelle ou d’un terrain, réalisation d’un lotissement, investissement locatif, construction d’un parc immobilier d’entreprises… Les échelles de grandeur présentent de nombreuses disparités en matière de délais et de budget. Par ailleurs, les capacités de remboursement ne sont pas les mêmes et influent sur la rentabilité même du projet.
Apport personnel et aides pour bénéficier d’un financement sur mesure
Il est également essentiel de se constituer un apport pour démontrer son implication. Selon les organismes sollicités, celui-ci peut être compris entre 10 et 30 % du montant total de la transaction. La présence d’une épargne, comme un PEL (plan d’épargne logement), offre un avantage supplémentaire. À noter que l’éligibilité à certaines aides, comme le prêt à taux zéro (le fameux PTZ), peut favoriser l’accord du financement, notamment en ce qui concerne les critères de performances énergétiques de son logement. Indirectement, le choix d’un promoteur immobilier à Lyon ou dans toute autre ville est essentiel dans la question du financement. S’il est spécialisé dans les constructions neuves, il est possible de profiter de différents avantages fiscaux :
- une TVA à taux réduit (5,5 %) en zone éligible ;
- un crédit d’impôt plafonné à 21 % du montant total ;
- un prêt à taux bonifié ;
- des frais de notaire moindres : entre 2 et 4 %, contre 7 à 9 % pour les biens anciens.
Quel type de prêt choisir pour son projet immobilier ?
Le financement de son projet immobilier nécessite de bien faire la distinction entre un prêt classique et un prêt relais. Pour ce dernier, il s’agit d’une solution de financement de transition pour faciliter la mise en vente de sa propriété avec pour objectif d’acheter un autre bien. Dans un cas comme dans l’autre, il est possible d’opter pour un remboursement à taux fixe ou à taux variable. Ce choix influe sur le montant des mensualités, qui peut fluctuer sur la durée du crédit en question.
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